Dans Plongeurs International 150.

Christophe Kamierski est allé découvrir ce coin méconnu qui appartient autant au golf persique qu’à l’océan indien.

La rubrique Aquamonde nous emmène au sultanat d’Oman, une nouvelle destination à découvrir  à travers l’œil d’un photographe, histoire de constater qu’avec un appareil photo à la main on ne regarde pas le monde tout à fait comme les autres plongeurs. La lumière d’ordinaire si bénéfique pour la qualité de la plongée peut devenir un problème quand il s’agit de la dominer par l’éclairage de ses flashes, l’abondance de faune vous fera sans arrêt regretter d’être parti en macro quand il vous faudrait un fish-ye, ou le contraire !

Extrait : « En petite profondeur, la lumière ambiante est tellement forte qu’avec un objectif fish-eye ou macro, on peut avoir une petite difficulté technique, à savoir nos photos comme prises en lumière ambiante seule malgré les flashes allumés. Cela arrive surtout pour les flashes déclenchés en TTL car, dans la plupart des conditions « normales » de réglages en vitesse et diaphragme, ceux-ci ajoutent simplement l’éclairage pour compléter la lumière ambiante. La solution est de les régler en manuel au maximum de puissance pour ensuite trouver les bons réglages en vitesse et diaphragme et doser plus facilement l’équilibre avec la lumière ambiante.. »

Retrouvez cet article et beaucoup d’autres en lisant le numéro 150 de Plongeurs International.

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